dimanche 6 avril 2008

Grand Corps Malade



Grand Corps Malade
Enfant de la ville
Universal/DEP

Barre très haute pour ce second titre clin d’œil à Bohringer (C’est beau une ville la nuit). Gros Tas de Salades comme le disent ses détracteurs ? D’emblée on retrouve cette petite explosion de lumière quasi spirituelle : «Mental» (nous la retrouverons sur Avec eux). Il faiblit avant de devenir rigolo avec «les pères verres». GCM reprend ses thèmes de prédilection tels la banlieue, le courage et l’amour sauf que… rebelote un hommage aux soirées slam et un triste aveu dans «Comme une évidence»: amoureux, il craint que ses potes se foutent de sa gueule. À 30 balais! Cela dit, l’influence du Renaud perfecto se fait encore plus manifeste (L’appartement) et le second degré y est parfois fort efficace (Underground). Faudra pour la suite resserrer et zapper la putain de flûte. *** (CA)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Blog très sympatique!! :-)

Chris

http://jeuxdecritsintimes.blogspot.com/