Ukulele Songs
Eddie Vedder
Comme le disait un jour le chanteur français Thomas Fersen : «le ukulele est à la guitare ce que le string est au caleçon.»
Mais tout le monde ne possède pas le même sex appeal.
Il est fort à parier que s’il ne s’agissait pas du chanteur de Pearl Jam aucune compagnie majeure n’aurait investi dans ce projet aussi dépouillé qu’audacieux.
Résultat ?
Mais tout le monde ne possède pas le même sex appeal.
Il est fort à parier que s’il ne s’agissait pas du chanteur de Pearl Jam aucune compagnie majeure n’aurait investi dans ce projet aussi dépouillé qu’audacieux.
Résultat ?
Bien qu’au départ la facture musicale folk romantique ultra minimaliste semble rébarbative, l’intensité de Vedder ainsi que son registre vocal nuancé incitent à tendre l’oreille.
Intimiste et introspectif, ce second opus en solo en forme d’hommage rendu à sa femme et ses deux filles s’avère étonnant, intéressant et parfois touchant.
Intimiste et introspectif, ce second opus en solo en forme d’hommage rendu à sa femme et ses deux filles s’avère étonnant, intéressant et parfois touchant.
Parmi les seize titres, on y retrouve, notamment, une reprise de Pearl Jam (Can't Keep) et une autre de la formation légendaire The Mamas & the Papas (Dream a Little Dream).
Mais ce minimalisme musical, ukulele parfois ponctué de violoncelle, peut devenir lassant.
Au final, une question demeure : le réécoutera-t-on ? ***
Au final, une question demeure : le réécoutera-t-on ? ***
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