Comme son homonyme en bédé, Philémon a tout du grand écorché qui vivrait dans un monde un peu surréaliste.
Sur ce premier chapitre capté à Cuba avec des musiciens recrutés au hasard des événements, il distille une écriture raffinée, presque parlée, proche de la poésie.
Orchestrations folk minimalistes mais savoureuses ponctuées d’envolées de trompette ou autres, les «Sessions cubaines» s’avèrent à la fois tristes, intimes et lumineuses. *** ½
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