Thomas Fersen
Je suis au paradis
C’est qu’il n’était plus si convaincant le Fersen.
Heureusement, sur ce huitième chapitre studio, il retrouve sa superbe, son verbe élégant et son dandysme décalé.
Mélodies très réussies nappées de cordes enjouées, il sublime des marginaux magnifiques tels «Dracula», «La Barbe Bleue», «Le Balafré», «Félix» ce centenaire jouisseur et «Sandra» le fantôme sans drap (!).
Mélodies très réussies nappées de cordes enjouées, il sublime des marginaux magnifiques tels «Dracula», «La Barbe Bleue», «Le Balafré», «Félix» ce centenaire jouisseur et «Sandra» le fantôme sans drap (!).
Bédé noire mais haute en couleur quoi. On aime. ****
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