Rideau rouge, guitares, complicité, Bïa et Yves Desrosiers ont foulé une cinquantaine de scènes avec ce spectacle dépouillé qui met de l’avant la sensibilité lumineuse de la Brésilienne dont les inflexions évoquent parfois Lhasa.
En plus des pièces de la belle, on y croise en français, portugais, espagnol et anglais des airs de Brassens, Piaf, Ferland et du poète russe Vissotsky (il faut refaire le magnifique album de Desrosiers avec cette formule). Sur Itunes
*** ½
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