L’un n’empêche pas l’autre
Avec Ivor Guest (Brian Eno) à la réalisation et l'éternel complice Areski Belkacem à la co-réal, lui qui signe aussi la plupart des musiques, la grande papesse sombre de l’underground français a conçu une album composé d’inédits (4), de raretés (3) et de classiques (6) interprétés en duos avec des farfadets de la nuit déchirée : Arno, Grace Jones, Christophe, Alain Souchon, Jacques Higelin, Mathieu Chédid et, malaise…Bertrand Cantat.
Si cet album peut sembler rébarbatif à prime abord, surtout pour ceux qui n'ont pas encore apprivoisé l'univers parfois déjanté de la grande dame, il se révèle encore une fois artistiquement au-dessus de la mêlée.
Entre mélodies techno pop accrocheuses et conte lugubre, la poétesse dégoupille sa plume superbe histoire de sublimer les profondeurs de l’âme humaine lorsqu’elle ne déconne pas allègrement mais de façon toujours étonnante et intelligente. Envoûtant. ****
Entre mélodies techno pop accrocheuses et conte lugubre, la poétesse dégoupille sa plume superbe histoire de sublimer les profondeurs de l’âme humaine lorsqu’elle ne déconne pas allègrement mais de façon toujours étonnante et intelligente. Envoûtant. ****
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