Flash : l’an dernier vous avez célébré dignement le nouvel an et les retrouvailles avec Mononc Lucien en les arrosant de shooters multiples et de petites bulles dorées. Or, comme tout se paye dans la vie, vous vous êtes retrouvé le lendemain matin avec un commando de travailleurs munis de marteau-piqueur dans la boite crânienne et une nouvelle résolution de ne plus brosser que vous ne tiendrez pas.
Une seule solution s’imposera alors, le «rince-cochon». Vieille expression française qui sert à désigner les multiples «antidotes» aux gueules de bois et autres lendemains trop arrosés.
Tout d’abord, de façon préventive, il pourrait s’avérer fort salutaire que vous buviez de grande quantité d’eau pendant vos libations histoire d’éviter la déshydratation inhérente à la consommation de grandes quantités d’alcool. Le fait d’avalée une cuillérée d’huile en début de soirée pourrait également avoir un effet salvateur pour votre pauvre estomac qui sera ainsi mieux armé contre les attaques menées par le général téquila ou la caporale crème de mente varte si vous êtes chez matante Germaine.
En France, la recette de rince cochon traditionnel parisien, transmise de génération en génération dans les bistros, consiste à avaler un grand verre contenant 1/3 de vin blanc, 1/3 d’eau de Vichy et 1/3 de limonade.
Les âmes plus sages ou moins habituées des bistrots vous conseilleront pour leur part d’opter pour un bouillon de légumes réparateur accompagné d’eau alcaline gazéifiée. Ce qui favorisera la lutte contre l’acidité gastrique et favorisera l’élimination e l’acidité urique par voies urinaires.
Ne le répétez à personne mais le Bloody Ceasar composé de Mott’s Clamato (qui contient des palourdes en plus du jus de tomates) peut s’avérer particulièrement efficace. Dans sa version «Virgin» sans alcool, évidemment.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire