Puis la publication, il y a près de deux ans, de ses petites chansons accrocheuses ainsi que sa tête de mannequin, sans compter les premières parties pour Alain Souchon, l’ont rapidement propulsée sous les feux de la rampe. Il faut dire que la très jolie «La liste», premier extrait de l’album éponyme, n’était pas sans rappeler une certaine Carla Bruni qui, peu de temps avant, avait défriché ce terreau fertile. «Non, la référence ne me gêne pas du tout. Disons que moi, j’ai beaucoup aimé l’album de Carla, le premier. Et il vrai qu’à l’écoute de mon album, il y a beaucoup de choses qui peuvent être semblables. Des guitares folks, des harmonicas et une voix qui ne chante pas toujours très fort. Et la différence, lorsqu’elle se fait sentir, et on me l’a dit souvent, se passe sur scène. Déjà que Carla Bruni n’a pas fait beaucoup de scène alors que nous, nous sommes déjà rendus à 150 représentations. Sur scène c’est beaucoup plus rock. Je suis debout et je bouge partout. Ce n’est plus du tout le mythe de la jeune fille assise sur un tabouret qui fait gaffe à ses cheveux quoi», analyse cette artiste qui a du mal toutefois à se séparer de sa guitare et qui choisi son pseudonyme par affection pour le film «The Rose». Long métrage réalisé en 1979 et dans lequel Bette Midler, de façon inoubliable, incarnait une certaine Janis Joplin.
Le rêve américain
D’ailleurs, si elle affirme aimer beaucoup la chanson française en raison de ses textes, ce sont surtout les artistes anglo-saxons qui interpellent Rose comme en témoigne d’ailleurs son site My Space.
À l’instar de Camille qui propose plusieurs chansons dans la langue de Radiohead sur son dernier disque, le fantasme musical de Rose serait de s’exiler dans un pays anglophone, d’apprendre l’english et de chanter du rock à
2 commentaires:
Lovely post forte. Jamais pensé qu'il était aussi facile. respects à vous!
Euh...C'est très gentil de votre part mais je ne comprends pas vraiment le sens.
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