mardi 30 janvier 2007

Mario Peluso

Méchant plongeon dans mes souvenirs ce soir alors que j'assisterai à la rentrée montréalaise de mon ami et jadis frère de biture Mario Peluso à la Place des Arts (avis aux voleurs: le piège à ours est derrière la porte de la cuisine et la kalachnikov de ma voisine fait toujours mouche).

Si le nouveau spectacle de mon Pelooser ne comportera qu'une chanson que nous avons écrite ensemble, Saint-Thimothé/Ontario qu'il interprétera au rappel, voir Mario sur scène me procurera assurément d'intenses émotions tant nous partageons de souvenirs fracassés...

Mélodiste exceptionnel en plus d'être un attachant bien que cabotin personnage, ce folk singer s'inscrit dans la pure tradition de la sainte trinité yankee: Johnny Cash, Bob Dylan et Neil Young (même s'il est d'origine canadienne).

Toujours debout malgré les embûches et les gueules de bois, Mario possède le défaut de ses qualités: une satané tête de cochon.

Qu'il soit toujours là, après 5 albums qui ont tous reçu de chaleureuses accolades de la part des critiques relève de la vocation tant sa diffusion demeure clandestine.

Qu'à cela ne tienne, celui qui est devenu une référence pour ses pairs tels Michel Rivard et Rick Hayworth exerce ce métier pour les bonnes raisons: exprimer des sentiments et survivre.

Et basta la flagornerie et les modes éphémères.

Si on m'en formule la demande, il me fera plaisir de disséquer les chansons que nous avons écrites ensemble et leur petites histoires telles: Malgré Tout, Saint-Thimothée/Ontario, Toi qui connais, La roulette...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

allo claude j'ai lu ton commentaire
sur l' exceptionnelle mélodiste!!!!
mario peluso ta proposition d'analyse des chansons(du dit chanteur) que vous avez creer ensemble ,serait surement tres interessente et instructive,pour la postérités....
une fana....nana